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mercredi 23 février 2011

L'intimité de l'orientation sexuel

Récemment, j'étais confronté à une scène de dynamique complexe. Ce genre de situation qui invite à affiner sa position, tout en étant lucide sur soi. Ce dernier point est le plus difficile. Voici le pitch: une jeune ado, homosexuel (personnellement, je le sais depuis que je le connais). Il est plutôt dans le genre a prendre soin de lui, de son corps. Son papa exige que son fils soi un mâle, un vrai, un dur, qu'il aime les filles..

Et voici que j'observe cela avec tristesse. Je vois ce non-dit. Il conduit un couple à ce bercer d'illusion. Une mère qui estime son fils influençable. Et moi, j'en suis triste. Je vois un ado fragile, qui ne peu pas être lui. Nous n'avons pas de le même regard.

Et nous voila face a nos propres position. Pourquoi pour moi cela n'a pas d'intérêt. Pourquoi? Parce que cela est intime. Parce que ce n'est pas mon affaire. La vie sexuel, intime, amoureuse de mon enfant n'est pas la mienne. Je n'ai pas d'attente a avoir, même si la société me pousse à en avoir. Mon enfant n'a pas à être mêler à ma vie sexuel, intime, amoureuse. Il n'en est pas un acteur. Pourquoi, devrais-je moi, en tant que parent décider, intervenir?

Oh, cela semble terriblement évident, et puis il y a aussi le couplet « tu dis ça maintenant mais quand tu y serra confronté, tu verra ». Mais non. Pourquoi ne pourrais-je pas envisager le respect de l'intimité de la vie sexuel de mes enfants? Et tout ces jugements de valeur social oublie une donnée importante: l'amour

Où doit dormir l’enfant

Il existe de nombreux dogmes sur le sommeil de l’enfant. Ceci vont du sommeil solitaire au cododo, en passant par le SideBed, et des aménagements à temps partiel. Ne serait-il pas bon de jeter les dogmes à la poubelle ? L’important pour un parent, c’est d’être reposé !
Je n’ai pas choisi de lieu de sommeil. Ils se sont imposés à moi, à nous. J’avais investi pour avoir une chambre pour mon bambin, et moi la mienne. Tout très carré, très préparé. Et puis, j’ai vu mon fils. Je crois que cela m’a libérer des idées dogmatique en matière de parentalité. Je n’avais rien lu sur l’allaitement. Ils m’ont parlé de sevrage, je n’avais même pas commencé mon allaitement. Tout était annoncé comme des fins obligatoires imposer par des inconnus. J’ai pu, avec ses simples regards,  lâcher la pression social.
J’ai utilisé son lit une seule fois à la maison. Je ne sais pas comment on couche un bébé dans un lit, ce n’est pas les modèles d’enfants que j’ai. J’ai des enfants sensibles à la présence et l’absence corporel. Bien sûre, j’aurais pu les contraindre à se déconnecter d’eux, de leur ressenti, les contraindre à accepter le sommeil en solo. Oui. Mais ce n’est pas mon mode de fonctionnement qui émane de mes tripes. Je dors mieux avec eux. On a de la place, on a chaud, on dort. C’est l’essentiel. Durant la premiére année de vie de mon premier enfant, la seule opportunité qu’il avait de passer du temps avec son papa était de dormir près de lui. La nuit n’est pas un vide relationnel.
Je ne dors pas toujours bien. Mais aucun humain ne dort toujours bien.
Il me semble mieux de viser le repos, que les idées des autres, ou celle que la société nous met dans la tête.

samedi 19 février 2011

En quelques jours, ce n'est plus le même


Je suis une maman qui dit « oh, je ne l'ai pas vu grandir ». Je passe du temps avec mes enfants, je suis dans leur vie. J'observe l'évolution de mes enfants.
Je constate depuis quelques journées un changement radical chez mon bébé. Il a lieu tant physiquement, que dans son comportement. Il s'est ouvert d'un coup vers son papa. Il le cherche, le piste, le réclame dès qu'il perçoit sa présence. Ce n'est plus un bébé, ce n'est pas non plus un bambin. Il est entre les deux. Sa personnalité s'affirme de plus en plus. Il exprime de nombreuse choses dans toutes les gammes des émotions.
Je ne comprend pas comment dans cette même période pour mon bambin, j'ai désiré un autre enfant, sauf sur l'aspect biologique qui m'y poussait. Comment me suis-je menti à moi-même. Il était petit, et ce désir stupide. Il était dans un grand besoin de moi-même. Mon inconscient l'a protégé d'une fratrie à cette époque. Je n'était pas prête.
Ce changement radical, je l'ai déjà vécu. Et, je comprend mieux son effet sur moi. Il me donnait l'impression que c'était devenu plus gérable. Du coup, je me sentais prête pour un nouveau défi. Mais, je ne regardais pas en face les défis de mon enfant. Heureusement que mon cerveau était bien plus conscient que moi.
J'aime observer ce changement, ce mouvement. Il se met à la verticalité active. Il faut dire que mon bambin à son époque commençait tout juste la diversification, tandis que mon bébé lui... est bien, bien, diversifié. Il s'est voulu de façon très précoce des aliments. Mais, je suis lucide, sur ce que mon corps me pousse à faire, sur ce que je veux, je ne veux pas. Et puis... sur les besoins de mon enfants, de mes enfants.

vendredi 18 février 2011

Bilan d'une journée


Je me regarde en face. Et vous? Je me ment pas, je me berce pas d'illusion sur mon attitude parental. Ces derniers mois, et particulièrement ces deux dernières semaines, j'ai mon réservoir de colère qui déborde. J'ai la nausée émotionnelle. J'en connais la cause. Ce n'est pas récent. Et ceci c'est vu nourri par un fait récent. Mon bambin est dans une phase « non, non, non, non, non » en boucle. Franchement, en ce moment, avec ces émotion à fleur de peau, c'est juste de l'huile sur mon feu interne. Et ca m'épuise. Et puis son attitude est aussi influencer par mon propre vécu.

Et donc, c'est le serpent qui se mort la queue.

Il est important d'être lucide, sur soi, sur son vécu, sur son état.

Je suis très lucide sur mes réactions actuels. Actuellement, je ne suis pas patiente. Mais je suis aussi exigeante. Et j'accepte difficilement certaine expression de ses propres vécu car il se répercute sur les miens.

Ce n'est pas une situation de respect, d'écoute. Je suis lucide. Et vous? Quand vous merdouillez avec vos enfants, vous faites quoi? Vous voilez-vous la face?

Je ne crois pas que ça aide mon enfants mais se bercer d'illusion, ne les aides pas. Cela augmente la souffrance.

jeudi 17 février 2011

Avoir de la visite, sans le prévoir.

Aujourd’hui, j’ai un bambin qui saute, sautille de joie ! Aujourd’hui, il a une petite surprise de la vie. Un pote avec sa maman viennent  nous voir ! La surprise, ce que ce n’était pas prévu ! Et oui ! Une amie m’a envoyé un petit email pour savoir si je travaillais ou pas aujourd’hui, pour savoir si elle pouvait venir
 



Et voilà une démonstration de l’avantage du télétravail. Je bosse un peu là, pendant la sieste de mon petit koala, pendant que mon bambin joue avec son train… et puis hop, on profitera de l’après-midi et puis ? Ce soir hop, je bosserais. J’aime la liberté de planifier sa vie au grès des envies.

Développement du Langage

Chaque parent à ces zone d'angoisse, de peur. Je suis une bavarde. J'ai la langue bien agile. J'adore parler. Mon bambin à 3 ans et +/- 9 mois. Il parle très peu avec des mots à lui. Voilà ma zone d'angoisse. Mon bambin est passionner de plein de chose, sauf du dialogue. Son père n'est pas un bavard. C'est peut être un trait de caractère. Mais?

 J'ai peur, je m'inquiète. Il est bien dans ses baskets Il est rayonnant, heureux, et on le comprend très bien. Il a beau parler avec ses mots, il est compréhensible. Il joue beaucoup, avec de la place pour l'imaginaire... Et surtout quand on fait une demande complexe, il y répond.

Il est aussi très méfiant. Il lui faut du temps, et cela depuis toujours pour être en relation avec les autres. Il préféra qu'une personne lui adresse la parole que quand lui ira vers lui. Lui dire bonjour, lui retirer l'initiative fait qu'il se méfiera encore plus. Il n'aime ni les bonjours, ni les au revoir. C'est le renard dans Le Petit Prince. C'est une image que j'utilise souvent. Avec les autres, il va sortir quelques mots. Avec moi, il va parler, parler, parler sans cesse, toute la journée et je vais comprendre la moitié, par déduction. Ce qui est plus que les autres!

Toute fois je constate que de nouveau mot, il ne dit que la fin de sonorité. Je suis sur ma zone sensible. Donc, j'ai choisit de me rassurer. Même si le pédiatre a été rassurant. Je vais le faire voir par un ORL. Car je constate qu'en plus de ne dire que la fin des nouveau mots, il s'accroche beaucoup au lèvre.

Regarder en face ses zones de peur et trouver une solution pour lâcher prise! Et puis quand j'observe les lieux où il parle ou non, j'ai l'impression qu'il ne parle que dans un monde qui lui plaid. Grand bien lui fasse.

mercredi 16 février 2011

Biologie vs Cerveau


Quand on a plusieurs enfant, une question importante est celle de l'écart d'âge entre les différents membres. J'ai pu constater des conseils bien variés. Souvent on commence a dire « quand ton bébé a 1 an, ça devient gérable » jusqu'à « il faut minimum 5 ans avant d'envisager un autre bébé », voir pour les plus tranchés: « jamais ». bien loin de moi l'idée de vous donner un avis. Je n'en sais rien. Mon bambin à 3ans et demi [enfin 3 ans et +/- 9 mois ;)] et mon bébé va avoir un an dans un tout petit mois. Mais voilà, mon bambin à choisit que le langage serrait la dernière choses qu'il développe. Et bien avoir un bébé et un bambin dont le langage est assez faiblement développer, c'est sportif. Mon corps me dit une fois par mois qu'il serait temps de relancer la machine à faire des bébés.

Mon corps et mon cerveau vivent un profond désaccord. Le premier souhaite une fois par moi, avec insistance que j'assure mon devoir biologique de survit de l'espèce. Le second dit « non, et puis c'est tout ». Je suis sûre de ma position.

Je n'ai pas réfléchis, sous peser le pour et le contre. Rien de tout ça. C'est une évidence. Je pense aujourd'hui que ma condition pour avoir des enfants qui ont un langage développer pour exprimer les choses. Certes mon bébé a déjà 3 mots de base pour la survie: téter, Maman, et Papa. L'essentiel. Il est tout petit à mes yeux ce bébé. Il est hors de question de faire un troisième enfant pour l'instant. Et même si il parlait plus...c'est un bébé, pas un bambin...

Cette biologie va de mois en mois augmenter la pression sur mon corps. Je me souvient bien qu'entre mon premier et mon second enfant, il a fallu plus d'un an entre l'envie et l'installation d'un autre bébé. Un an. J'avais envie de lancer un 2ième enfant vers les 1 ans du premier. Mais c'est un peu avant les 2 ans de mon fils qu'un autre enfant c'est installer. Je n'était pas prête. Et je ne le regardais en face. Mais, là, je regarde en face les choses. Je suis bien plus lucide

Voilà ce que j'ai envie de partager avec vous: ce n'est pas les positions des autres qui sont déterminantes. C'est vous. Bien sur très rapprocher, ça ne me semble pas chouette pour les enfants car ont ne répond pas aussi efficacement. Mais je ne suis pas vous. Il faut être clair sur votre capacité à être disponible pour vos enfants, sans qu'ils se sente rejeter, négliger. Un bébé demande de la disponibilité! C'est un fait. Et donc, il faut que ca ne déséquilibre pas trop la vie du précédent. Je crois quand la parole est une condition essentiel pour faire un autre enfant. :) Mais c'est du à mon vécu personnel. Regardez-vous dans un miroirs, sans faux semblant, assumer votre désire, vos envies. Sachez aussi identifiez si c'est être enceinte qui vous fait envie ou belle et bien d'avoir un nouvelle être à accompagner dans la vie ;)

samedi 12 février 2011

Moral

Moral en berene

10 textes a tapper pour ici
déjà écris, à faire relire à mon homme.

Pleurer un bon coup

Y a un an, j'était dans le meme état, je me croyais a 3 semaines de mon accouchement  (je parle du dernier délai téhorique)
et? j'étais à un mois. Dépassement de terme....

41 SG +6 ... raaaah