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vendredi 31 décembre 2010

Tu as un bébé dans le ventre maman ?

Aujourd'hui, Gnome №1 m’a demandé avec sérieux et avec ses mots à lui si j’avais un bébé dans le ventre. Un troisième enfant n’est pas d’actualité. Il n’est pas question d’y réfléchir, ou d’y penser. Mais la question est importante. On pourrait trop facilement l’interpréter par « Ohhhhh mon bambin veux un autre bébé ». C’est vrai qu’il y a de l’amour, de la bienveillance de Gnome №1  vis-à-vis de Gnome №2 et donc il serait facile de chercher derrière une question, une demande non formulé.
Mais si on aborde les choses ainsi, on ne regarde pas les choses en face. L’interpréter comme une demande, c’est ne pas regarder notre propre désire. Je suis ravie de savoir clairement où je me situe sur cette question. La réponse n’a pas était réfléchis, mais immédiate
« Non Gnome №1, il n’y a pas de bébé. Je n’ai pas envie qu’on ai un autre bébé maintenant. J’aurais plus de temps pour toi, et je veux avoir du temps pour toi ».
Et hop.
On n’en fait pas tout un fromage.
Il faut se méfier de l’interprétation que nous avons tendance à faire derrière une simple question. J’ai percuté a ce  risque en racontant à  mon compagnon, leur papa, la dite question.

jeudi 30 décembre 2010

La confiance, un fondamental

La confiance est un ingrédient important dans notre vie. Selon le CNRTL la confiance dans le cadre de relation de personne à personne est:
Croyance spontanée ou acquise en la valeur morale, affective, professionnelle... d'une autre personne, qui fait que l'on est incapable d'imaginer de sa part tromperie, trahison ou incompétence
Pour avoir une tel foi dans notre relation avec l'autre, il faut des liens fort. Cela n'est inné qu'avec nos enfants, a mon sens. Le fait de les porter en nous, de les avoir crée fait cette foi est naturel. La foi est de l'ordre de l'irrationnel. On a foi en dieu, par exemple. Ce n'est pas mon cas. Mais je peux comprendre cette don d'une par de soi à l'inconnu. Je préfère avoir foi dans l'autre. J'ai donc foi en même enfant. Je leur fait confiance. Elle est né en même temps que leur conception. L'installation dans la matrice maternelle, ne peut se faire que dans un climat paisible, de sécurité. Et c'est bien l'ingrédient essentiel de ce climat.
Oh, je suis bien évidement réaliste. Ils leur arrivera de blesser mon égo, involontairement, peut- être volontairement plus tard. Il leur arrivera de détruire des objets qui me sont cher, parce que le notion de la propriété n'est pas celle d'un adulte. Mais la confiance restera une dominante dans la relation. Je crois profondément que le jour où, entre une mère et son enfant, la confiance se rompt, c'est un une épreuve terrible.
La confiance, c'est la base de la sécurité physique, et affective. On l'a démontré à quel point l'attachement, était essentiel, pour la sécurité affective. Pour qu'il soit possible, on en revient toujours à cet ingrédient principal de la relation humaine proche, qu'est celle des dyades mère/enfant, père/enfant.
La confiance avec les autres personne est une chose qu'on donne facilement, qu'on galvaude. A tord. C'est devenu un automatisme. Je m'y fait moi-même encore avoir et pourtant, j'ai été confronté à des trahisons, tromperies. On devrait être bien plus prudent. Il faut laisser le temps à cette confiance de naitre, de croitre au sein de nos relations. Ne pas en faire une évidence rapide, un passage obligé, imposé par une certaine idée qu'on se fait de la société. Laissons donc les relations réellement ce construire. La rapidité que nous avons à estimer atteindre ce niveau de sécurité dans nos relations est certainement un écho direct à notre société à grande vitesse.
Retrouvons le plaisir de prendre du temps avec l'autre, et dans le tissage des liens. Nous n'avons pas besoin d'aller trop vite. Nous avons déjà des liens fort et solide avec des êtres qui nous son précieux. C'est en galvaudant la confiance qu'on fini par pouvoir abimer celle que nous avons pour nos enfants. Soyons vigilent.
Un bébé ne peut survivre sans la foi, la confiance absolu en ses parents qui le protège, le nourrisse et veille sa sécurité. Les gens à qui vous croyez accorder cette confiance, pourraient-ils avoir cette présence pour vous? Cette implication « sans faille »? J'ai su voir dans le désert difficile que nous avons du traverser récemment et les plaine arides d'aujourd'hui, que j'avais placer ma confiance dans les bonnes personnes. Je ne parle pas de vous nourrir, mais d'une qualité dans la relation, dans leur façon d'être présent. Nos amis ont leur propre charge, la confiance c'est aussi ne pas en être une pour eux. 
Ne le perdait pas de vue, la confiance est la fondation sur laquelle les choses peuvent durer.